• Je m'appelle Jean-Philippe, mon histoire, comme des milliers d'autres histoires de séparation de couples (avec enfant) se déroule dans notre pays. Des récits comme celui-ci, il y en a tous les jours en France. Ce récit est révélateur du n'importe quoi généralisé. J'ai vécu en couple près de quinze ans et nous avons eu une fille stèphanie née en 1990. A la suite de notre séparation à la fin du siècle dernier, le juge aux affaires familiales a été saisi pour décider de la garde de stèphanie. La garde a été confiée exclusivement à mon ex concubine. Je ne disposais que d'un droit de visite. Tout s'est passé relativement bien jusqu'en 2003 bien que mes droits de garde n'étaient pas toujours bien respectés. Mon ex concubine a rencontré un autre homme. De mon côté je rencontrais celle qui est devenu ma femme. En 2004, stèphanie (14 ans) a commencé à se plaindre de violences physiques et verbales de la part du concubin de sa mère. Je lui ai conseillé d'écrire au juge aux affaires familiales et de porter plainte au commissariat. J'ai fait examiner ma fille par mon médecin traitant et celui-ci a fait un signalement de sévices physiques. Puis au bout de quelques semaines, ma fille s'est rétractée, très probablement du fait des pressions qu'elle subissait. Du coup le dossier a été classé sans suite par le Procureur de la République. Après cela une cascade de situations que je désignerais comme inqualifiables, dans le cadre d'un Etat de droit, se sont déroulées en toute impunité. D'abord une convocation au commissariat pour une soi-disant confrontation. Ce ne fut qu'humiliations et intimidations de la part d'une gardienne de la paix. Ensuite en 2006 convocations devant le délégué du Procureur de la République lequel n'hésitant pas à me traiter de « menteur » tout en me menaçant de six mois de prison ferme et d'une amende de 7500 Euros. Mon tort, il faut bien le dire, avait été de signaler un délit et d'avoir dit la vérité. En 2010, je fus saisi sur mon salaire alors que j'étais prêt à payer la pension à ma seule fille devenue majeure comme la loi m'y autorise. En 2011 je saisissais le juge aux affaires familiales pour demander la fin de la saisie et la baisse du montant de la pension car mes revenus avaient changé à la baisse. Niant l'évidence et au mépris de la loi, la pension fut augmentée et la saisie poursuivie. Quant aux documents fournis (fiches de salaires, etc) à l'appui de mon dossier ils ont été « égarés » (sic) ce qui n'est pas rare dans des processus judiciaires. Signalons mes difficultés à obtenir un certificat de scolarité qui devrait être fourni comme preuve d' études de ma fille. De multiples dysfonctionnements ont, comme le lecteur a pu le constater, émaillée cette affaire. Ajoutons aussi outres les menaces, les dénis de justice, des discriminations sexistes et religieuses. Quant à ma fille stèphanie, type même de l'enfant victime d'aliénation parentale, elle s'est permise de diffamer son père sur Facebook. Devenue majeure, elle se campe dans le rôle qu'on lui a appris “d'ennemie de son père”. Au delà de cette triste affaire, la France est devenu malheureusement le pays du non droit où l'argent (et les réseaux) règnent en maître. Ceux qui ont les moyens de s'offrir un bon défenseur ont de sérieuses chances de faire aboutir favorablement leurs affaires. Pour les autres par contre (la majorité) il ne leur reste qu'à vivre dans la souffrance perpétuelle qu'occasionne ce genre d'expérience. Dans notre société, la vérité est devenu le mensonge. Le mensonge est érigé en vérité. Voilà pourquoi il faut se regrouper au sein de l'association DROITS ET LIBERTES. Ensemble nous serons plus forts et aussi moins seuls face à ces difficultés. jean-philippe


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  • A la suite d'une banale fuite de gaz dans mon immeuble;le 5 mars 2012,les pompiers et 2 policiers de vienne sont venus pour faire des contrôles,ce qui est normal jusque là. Leurs recherches ce sont concentrés sur notre appartement;car il y avait un fort dégagement de gaz;mais ils n'ont rien trouver. Il y avait les pompiers et les 2 policiers. Ce qui n'est pas normal,c'est que les 2 policiers ce sont permis de faire des choses graves et une atteinte à la dignité,à la vie privée de ma femme et de moi-même. Je ne connais pas les noms de ces 2 policiers,mais je serais les reconnaîtrent,car j'ai une très bonne physionomie. Un des 2 policiers c'est permis de faire un contrôle d'identité sur le physique,raciste(ma femme est d'origine camerounaise)ceçi est un délit de facié,ni moi,ni les autres locataires de l'immeuble ont eûs un contrôle d'identité et le deuxième policier à été fouiné dans un de mes placards sans mandat de perquisition,sur le coup je n'ai pas réagis car nous étions dans l'affolement à cause de cette fuite de gaz;c'est après qu'ils soient parti que je me suis rendu compte de cette situation grave. Si je m'étais rendu compte de cette situation,j'aurais éjectés de mon appartement avec fracas ces 2 policiers,je suis chez moi et c'est un lieu privé. Il faut vous dire que dans ce beau pays qu'est la france,nous rencontrons certaines personnes au niveau des administrations,des maffieux,escrocs,voleurs,menteurs et salopards en tout genres,qui se croit au dessus des lois;protégés par différents réseaux. La police et la justice quand ils commettent des délits ne sont jamais coupables;ils se protégent entre eux. Je suis une personne honnête et je suis comme beaucoup de français,j'en ai marre de la mentalité pourrie dans laquelle la france s'oriente;il n'y a aucune démocratie,si ce n'est qu'en façade. Je crois qu'il faudra faire d'urgence quelque chose pour retrouver une démocratie en france avant que la guerre civile n'éclate parce que ce jour là ce sont les français qui réglerons leurs comptes entre eux. La france est dans une situation très très grave au niveau de la démocratie,avec une atteinte grave aux droits humains et j'ai honte de mon pays. jean-philippe


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  • direction générale de la police nationale direction centrale de la sécurité publique direction départementale de la sécurité publique de l'isère DDSP n°2012/14522 GRENOBLE le 6 août 2012 Monsieur, Votre correspondance,en date du 26 mai 2012,adressée à Monsieur le ministre de l'intérieur,a attiré toute mon attention.J'attache en effet du prix à que les policiers placés sous mon autorité observent de façon stricte le code de déontologie,notamment dans leurs comportements vis à vis du public. Les événements dont vous avez été témoin involontaire n'ont pas,par ailleurs,un caractère anodin et on ne peut mésestimer les retentissements psychologiques qu'ils ont pu engendrer. Toutefois,il me paraît utile de revenir en quelques mots sur le contexte très particulier dans lequel cette opération de police a été déclenchée et les conditions dans lesquelles elle s'est déroulée. En date du 5 mars 2012,aux alentours de 23h30',l'intervention des services de police de la ville de vienne était requise par les sapeurs-pompiers,à la suite du signalement d'une fuite de gaz dans un immeuble sis cours de verdun. Comme vous ne l'ignrez certainement pas,les services de police n'ont pas seulement une vocation répressive.Ils ont aussi pour mission d'assurer la sécurité des biens et des personnes. C'est pourquoi,en raison des circonstances d'une exceptionnelle gravité,un équipage de policiers appartenant à la brigade de roulement de nuit était dépêché sans délai sur les lieux. Prêtant assistance aux sapeurs-pompiers,ils pratiquaient une visite de deux des trois appartements(le dernier résident étant absent),en vue de découvrir l'origine de la fuite de gaz,et avec l'accord des occupants. Cette opération,menée sous le commandement d'un chef de bord expérimenté et consciencieux,ne pouvait en rien être assimilée à une perquisition. Elle se déroulait,au demeurant,dans le plus grand calme et se traduisait simplement par le déplacement de quelques meubles afin de positionner un détecteur à proximité immédiate de tuyaux de gaz. A l'issue de ces recherches,il vous était demandé,ainsi qu'à un autre habitant,de fournir quelques éléments d'identité.Là encore,il ne s'agissait en rien d'une démarche inquisitrice,mais simplement d'une demande usuelle,permettant aux fonctionnaires de renseigner une main-courante informatique. Le déroulement de l'intervention des services de police dans votre domicile n'appelle de ma part aucune remarque particulière,les fonctionnaires concernés n'ayant commis aucune faute. Plus que par l'opération en elle-même,il me semble que vos remarques négatives sont plutôt inspirées par un certain ressentiment à l'égard des institutions policières et judiciaires.Or,au terme de l'enquête interne à laquelle j'ai fait procéder,il m'apparaît impossible de vous suivre dans cette remise en question. En effet,j'ai pu observer que les diverses procédures judiciaires vous concernant ont été diligentées avec la plus grande rigueur.Comme c'est l'usage lors d'investigations de ce type,vous avez eu tout loisir d'exposer votre version des faits au cours de vos auditions. Et si l'attitude des policiers a pu parfois vous sembler désagréable,voire inquisitrice,il faut comprendre qu'elle a été dictée par les impératifs de la procédure judiciaire,qui privilégie l'examen des faits au détriment des sensations subjectives ou des interprétations. Au terme de ces différentes enquêtes,diligentées sous le contrôle constant,faut-il le rappeller,du procureur de la république,ce magistrat a pu se prononcer au vu des éléments objectifs portés à sa connaissance et en toute indépendance. Il ne m'appartient pas de formuler le moindre commentaire au sujet des décisions de justice,la séparation des pouvoirs étant,comme vous le savez certainement,un des fondements du droit français.Je me permettrais seulement de souligner que les services de police placés sous mes ordres ont toujours observé une stricte impartialité dans le traitement des procédures vous concernant. Je vous prie de croire,Monsieur,à l'expression de mes sentiments les meilleurs. JEAN-PAUL PECQUET COMMENTAIRES: Suite à ce courrier et ne pouvant croire aux allégations de ce monsieur qui me prend pour un(CON...),qui se réfugie derrière la séparation des pouvoirs pour caché son mépris des gens,qui malheureusement,comme beaucoup de responsables,qui ne le sont pas dans la réalité,il couvre les délits de ces subordonnés;donc je ne peut lui faire confiance. Il vient parlé de déontologie,c'est gens n'en n'ont aucune et pour salir les honnêtes gens sont prêt à commettre les pires délits;ce sont des gens très dangereux;ils viendront bientôt chez vous pour vous assassinés. Ils ont tous les défauts,corrompus,parasites,escrocs,voleurs,menteurs,dans certains cas assassins,pédophiles...etc. La france comme je le souligne est un pays dictatorial,je le confirme dans tout les articles que je mets sur mon blog,car je ne suis pas le seul à avoir subit des préjudices graves,nous sommes des milliers;victimes des violences institutionnelles.. Ce monsieur,qui est un monsieur je sais tout,viens fourré son nez dans des affaires qui ne le regarde pas en l'occurrence mes problèmes de séparation,dont il ne connaît ni les tenants ni les aboutissants,il ferais bien mieux de s'occuper de ces affaires. Je n'ai plus confiance à tout jamais des institutions de mon pays,qui est un pays d'hypocrite,qui vole en permanence,les citoyens et dont je ne reconnaît aucune forme de légitimité. Après la mode''je suis responsable mais pas coupable''il y a la mode du''il ne c'est rien passé". La république bananière française se targue en permanence d'être la patrie des droits de l'homme,ce n'est qu'une dictature emballée dans un bel emballage cadeau de démocratie. Ne vous faites aucune illusion l'ennemi,n'est pas votre voisin,mais il est à la tête de nos institutions,ils n'aiment pas la france et les français et sont là pour nous détruirent. jean-philippe


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